Joyeux anniversaire à nos accessoires de pieds préférés ! Nous sommes fières de souffler la 3ème bougie de la marque aujourd’hui !
Pour l’occasion, nous avons choisi de vous confier les petits aléas, secrets et fiertés du quotidien que vous ne voyez pas. Violette a parcourue 3 ans de vie d’entreprise pour lister les moments qui font que l’Atelier St Eustache est ce qu’il est aujourd’hui. Nous allons donc commencer par ce qui nous rend fières, puis par les « pas-de-bol » du quotidien et pour finir, nous vous raconterons les événements qui se sont passés dans la précipitation (mais qui se sont bien finis, on vous rassure !).
Les fiertés :
Violette a remporté le prix du jury du concours Talents de mode en 2018, organisé par le Village des Créateurs de Lyon. Ce fut une grande fierté et un tremplin pour la vie de l’Atelier St Eustache.
L’aménagement dans les bureaux est aussi un chouette souvenir. Le premier salaire de Violette est aussi une satisfaction qui traduit également la bonne vie d’une jeune entreprise. Tout comme l’embauche des 3 stagiaires qui se sont croisés sur cette dernière année.
Le nombre de boutiques qui augmente fait partie des bonheurs du quotidien de la vie de l’Atelier St Eustache. Travailler avec toujours plus de boutiques ajoute de l’humain au travail de Violette, ce qu’elle apprécie beaucoup.
Constater le nombre de client qui augmente ainsi que leur fidélité est une grande fierté. Certains d’entre vous en sont à leur 10ème commande !
Ce sont d’ailleurs les collections qui vous séduisent toujours autant, d’abord la collection Tokyo qui est devenu le best-seller de la marque. Puis la collection Londres qui a su trouver une place dans vos tiroirs à chaussettes. Qu’en sera-t-il de la 3ème collection ? Surprise en septembre…
Depuis le début, l’Atelier St Eustache travaille toujours avec la même photographe et la même mannequin. Une vraie petite équipe de shooting qui s'entend très bien !
Encore quelque chose qui n’a pas changé depuis la création de la marque : l’usine de production italienne. Violette apprécie beaucoup travailler avec les membres de l’usine, qui mettent un point d’honneur à toujours s’améliorer sur la technique et la précision des produits. C’est d’ailleurs toujours un plaisir de recevoir les encouragements de la patronne de l’usine !
Les pas-de-bol :
Dans la catégorie pas-de-bol, nous pouvons recenser les modèles qui n’ont jamais vu le jour. Il arrive qu’après réception des prototypes et lorsque l’on a la chaussette entre les mains, nous réalisons que finalement, l’association de couleurs ne fonctionne pas. Ce sont donc des chaussettes qui terminent dans une boite et qui y restent pour toujours.
Mais aussi, nous pouvons vous parler des Nakameguro Rose, modèle de la collection printemps été 2020, qui nous ont été livrés une première fois dans le mauvais coloris. Panique à bord ce matin au bureau quand nous ouvrions le colis avec impatience et qui finalement, était rempli du bon modèle mais de la mauvaise couleur ! Heureusement, le bon rose a ensuite pu être livré et tout est bien qui finit bien.
Aussi, et à la même période, nous avons reçu les Thames qui n’étaient pas tricotées avec le bon motif. Panique identique, mais les bons modèles ont également pu nous rejoindre par la suite. Ouf !
Les contre la montre :
Il arrive parfois que la gestion du temps ne tourne pas à notre avantage. Et nous nous retrouvons dans des situations compliquées où le temps nous manque. Cependant, nous arrivons toujours à nous en sortir et faire passer ces contres-la-montre ni vus ni connus !
Nous pouvons vous parler par exemple du calendrier de l’Avent de l’hiver dernier, pourtant débuté dans les temps, nous avons été prises de cours et nous avons tout finalisé sur les chapeaux de roues.
Il est également arrivé que Violette reçoive des chaussettes qu’elle devait présenter pour un salon une semaine avant l’ouverture de celui-ci. En parlant de réception de chaussettes, nous vous en parlions dans la rubrique plus haut, mais les erreurs de production nous ont également fait recevoir la collection printemps été 2020 dans le rush, juste (un tout petit peu) en retard.
Nous avons également improvisé le concours pour la fête des mères de cet année. Heureusement que nous avions l’expérience du Calendrier de l’Avent pour nous aider.
Violette a aussi dû demander de l’aide à sa maman pour venir l’aider à emballer les chaussettes après un salon. C’était encore l’époque où Violette emballait elle-même les chaussettes. Un travail de titan ! C’est maintenant l’usine qui a prit le relais.