Le petit nouveau de l'Atelier St Eustache

Le Coffret Printemps

 Le printemps est arrivé comme chaque année, le jour de l’équinoxe
et on l'attendait avec impatience. Parce qu’on l’oublie souvent, mais c’est la saison du renouveau, de la nature, le retour du chant des oiseaux… C’est aussi pour eux la saison des amours et pour tout le monde une période bien souvent euphorique.

Alors même si ces derniers temps il est assez difficile de profiter pleinement
de ce dernier, nous sommes ravis de voir le soleil sortir le bout de son nez,
réel antidépresseur.

Faisons les présentations

Et si le printemps est synonyme de bonheur, nous avons décidé de lui faire honneur
en imaginant un chouette coffret de trois paires de chaussettes qui seront parfaites
pour la saison.

Laissez-nous vous présenter notre sélection :

1) La Nakameguro lilas

2) La New York Blue

Celle-ci, c’est l’alliée parfaite du total look blue jean. Que ce soit une salopette ou bien encore une jupe, cette paire est juste idéale avec des baskets blanches.

3) La Shinjuku White

Plus sobre mais qui a son charme, cette paire séduit par ses lignes à l’épaisseur nuancée,
qui entourent et épousent la cheville de manière subtile et délicate.
Et puis, une fois encore, agrémentée d’une couleur qui se marie avec absolument tout.

Mais ce n’est pas tout

Nos coffrets sont soigneusement préparés dans de jolies boîtes réutilisables à l’effigie de
l’Atelier St Eustache, et disposés de sorte à pouvoir vous présenter leurs différents motifs
dès l’ouverture de coffret.

On vous rappelle également que nous proposons à chaque commande un message personnalisé que vous pouvez intégrer à votre colis, si vous envisagez de l’offrir.

Pour finir sur une note poétique

Et parce qu’il n’y a aucune saison qui n’est plus propice à inspirer les poètes, voici un poème de Victor Hugo.

Printemps

Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire !

Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire,

Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis !

Les peupliers, au bord des fleuves endormis,

Se courbent mollement comme de grandes palmes ;

L’oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ;

Il semble que tout rit, et que les arbres verts

Sont joyeux d’être ensemble et se disent des vers.

Le jour naît couronné d’une aube fraîche et tendre ;

Le soir est plein d’amour ; la nuit, on croit entendre,

A travers l’ombre immense et sous le ciel béni,

Quelque chose d’heureux chanter dans l’infini.

Victor Hugo, Toute la lyre